Bonjour,
Je m’appelle Antoine Vandendriessche, je suis né à Nivelles au début des années 80, j’y ai vécu presque toute ma vie.
Un peu d’histoire…
Mes grands-parents étaient commerçants de génération en génération à Nivelles, une famille était fleuriste, l’autre dans le textile. (Vandendriessche-Paulus/Gourdin)
Je suis né en avril 1982, mes parents habitaient rue Auguste Leveque.
Catherine Paulus, ma mère a débuté sa carrière comme éducatrice spécialisée. Elle a travaillé à l’Emeraude à Baulers et c’est ensuite dirigée vers le milieu associatif.
Elle à travaillé jusqu’à la fin de sa carrière au bouton d’or (Le Goéland) mais nous a malheureusement quitté peu de temps après.
Philippe Vandendriessche, mon père est ingénieur du son mais aussi enseignant dans le milieu cinématographique.
C’est aujourd’hui un jeune retraité mais il continue de travailler dès qu’il le peut.
Mes parents on eut trois enfants, je suis l’ainé et j’ai deux frères Martin et Henri avec lesquels j’ai grandi jusqu’à mes 18 ans.
Nous avons longtemps habité rue Général Leman près de la gare.
J’ai également une petite soeur, Jeanne qui est beaucoup plus jeune que moi et qui est actuellement étudiante à l’Athenée Royal de Nivelles.
Elle vit avec mon père près Rosseignies à la campagne.
Je suis l’heureux papa de Mia depuis 2014.
Elle passe énormément de temps plongée dans les livres de la bibliothèque, ou accrochée à ses crayons, elle est élève à l’académie de Nivelles depuis quelques années déjà.
Elle est à l’école de Petit-Roeulx et est aux lutins de Feluy.
Sa maman vit à Arquennes.
Je suis allé à l’école Saint Michel rue de la Religion en maternelle.
J’habitais avec mes parents dans le quartier du vert chemin et nous étions les premiers locataires d’une habitations pour les jeunes familles totalement neuve.
Nous avons ensuite déménagé près de la gare ou mes parents avaient acheté une maison plus ancienne au milieu d’un quartier commerçant et nous avons découvert le loisir de vivre dans le centre et d’être à deux pas de tout.
J’ai donc été à l’école Sainte Thérèse en primaire.
Ensuite, j’ai commencé par une formation de deux ans en programmation informatique à l’Athénée Royal de Nivelles.
Je me suis ensuite dirigé en sciences industrielles à l’Institut Provincial des Arts et Métiers pour terminer mon cycle d’études secondaires.
A cette époque, mon père vivait à Jette et je vivais en alternance à Nivelles et la bas.
Comme je vivais à deux pas de tout, j’ai largement profité de toutes les activités dont Nivelles regorge.
Enfant j’étais élève à l’académie de Nivelles ou j’ai passé 19 ans à apprendre le solfège et l’histoire de la musique mais surtout le violon avec Daniel Jacot, la clarinette avec Philippe Hubert, la guitare classique avec Johan Fostier. Parallèlement à cela j’ai suivi des cours de piano avec Robert Ferrière qui de temps en temps m’offrait l’opportunité de pianoter sur l’orgue de notre collégiale.
J’ai participé à de nombreux ensembles de classes, ateliers mamusic, stages avec l’ensemble Alizé, groupe de rock Alisse,….
Durant mon enfance, je participe aux mouvements de jeunesses, tout d’abord aux nutons à Nivelles et ensuite aux louveteaux et éclaireurs à Baulers.
Je ferai aussi partie de différents clubs durant plusieurs années.: scrabbles, philatélie, natation, judo et aïkido.
J’ai également fait danser de nombreux nivellois lors de soirée scoutes à Nivelles et Baulers ou lors d’événements comme le carnaval.
Le folklore occupe une place importante dans ma vie.
A 12 ans, j’ai demandé à mes parents pour faire le gille à Nivelles. Il m’ont dit qu’ils acceptaient de me payer une année en guise de fête païenne pour clôturer mon cycle d’études primaires.
J’ai ensuite travaillés durant deux ans pour pouvoir m’offrir la joie de reporter le costume une nouvelle fois.
Le travail d’étudiant m’a terriblement séduit. J’avais tout un programme : le mercredi, j’allais chez COPY-NET faire de la logistique et de la mise en page.
A cette époque peu de gens comprenaient les ordinateurs.
Le samedi c’était les tontes de pelouses ou l’entretient des jardins avec mon grand-père.
L’été, je travaillerai chez POLYMAR dans le zoning de Nivelles pendant 5 ans car avec ma formation d’électromécanicien et ma rigueur, ils m’attendaient chaque année pour les épauler dans l’atelier.
Avec tous ces bagages en main, je me suis lancé dans des études d’ingénieur du son à l’Institut des Arts de Diffusion à Louvain-la-Neuve.
Pendant mes études, j’ai été concierge de mon école durant trois années consécutives.
J’ai également été délégué de classe, ensuite délégué des étudiants de ma section pour finir délégué des étudiants de toute l’école.
C’était l’époque de décret de Bologne, ce qui m’a permis d’avoir énormément d’entretiens avec le pouvoir organisateur de l’école et de mettre pas mal de choses en place pour les générations qui allaient me succéder.
Depuis 2004, je travailles comme ingénieur du son aussi bien dans le domaine musical (principalement en sonorisation) que dans la prise de son spécialisée lors de tournages de films et de séries ou documentaires.
Je vous invite à lire la section qui concerne ma vie professionnelle si cela vous intéresse.
Étant curieux de nature et ayant besoin de faire quelque chose de mes mains, depuis mes études d’ingéneur du son je n’ai pu m’empêcher de repende des cours :
J’ai notamment suivi parallèlement une formation de 4 ans en soudure en cours du soir à l’Institut Provincial d’Enseignement de Promotion Sociale et de Formation Continuée de Nivelles
Et très récemment une formation sur le travail du vitrail chez Henri Dupont grâce au centre culturel.
Je suis également chargé de cours à l’ESRA de Bruxelles depuis 2020.
J’enseigne aux étudiants de son mais aussi d’image et de réalisation ; la prise de son, la méthodologie de plateau et j’encadre différents exercices et tournages durant tout leur cursus d’études supérieures.